A l’aube de mon adolescence, je collais déjà mes photos dans les marges de mes cahiers. J’ai toujours été attiré par les lignes que notre regard nous offre, les fixer et les sortir de leur contexte.
A l’âge du numérique, avec nos boîtiers sophistiqués, la «pellicule» gratuite, les quantités de stockage illimitées, la rafale, le bracketing… je photographie toujours comme au temps de l’argentique : je vois, je sens, je déclenche une seule fois.
Et quand je suis content, j’ai envie de partager…